Chaque année, la diaspora camerounaise envoie des sommes considérables à leurs proches au pays. Pour la seule zone Bank of Central African States (BEAC / Bank of Central African States) en 2023, les envois via mobile-money ont atteint 557,3 milliards F CFA (≈ 990 millions USD). Et le Cameroun concentre plus de 75 % de cette valeur dans la zone.
Autrement dit : votre contribution depuis l'extérieur compte. Elle est une source clé de liquidité, d'investissement et de soutien pour des centaines de milliers de familles, d'entrepreneurs, de jeunes partout au Cameroun.
Les grandes plateformes de transfert (Nala, Sendwave, TaptapSend, Lemfi…) ont marqué leur présence auprès de la diaspora camerounaise. Elles mettent en avant la rapidité, les bons taux, la facilité.
Mais un point majeur : elles n'offrent pas de service inverse, c'est-à-dire les transferts « Cameroun → étranger ». Cela signifie que :
Ce modèle crée une sortie asymétrique de valeur : la diaspora fournit les devises, le pays reçoit du FCFA, mais la devise reste à l'étranger ou profite à des intermédiaires non locaux. Ce mécanisme contribue à l'affaiblissement de la souveraineté monétaire camerounaise.
Chez IPerCash, nous avons choisi une logique différente :
Grâce à l'engouement pour les transferts numériques, la zone CEMAC a vu ses montants via mobile-money exploser à plus de 557,3 milliards F CFA en 2023.
Au Cameroun, les transferts depuis la diaspora en 2024 ont dépassé les 603 millions USD (≈ 362 milliards F CFA).
Imaginez : chaque euro ou dollar envoyé ne se contente pas d'atteindre un proche. Il a le potentiel d'alimenter l'économie — soutenir un entrepreneur, acheter des équipements, créer un emploi — plutôt que de simplement faire des profits pour des intermédiaires étrangers.
Parce que :
Si vous souhaitez :
Alors IPerCash est votre plateforme.
Faites circuler la valeur. Pas seulement l'argent.
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